Bonjour à toi, survivant.e d'Ekla ! Comment te sens-tu en cette fin de semaine ? Je n'ai pas été très présente sur ce blog dernièrement, non pas par manque d'envie de le faire vivre, mais par un manque crucial d'inspiration et de confiance en moi. Ces temps-ci, je me sens un peu comme une ratée, avec l'impression que tout ce que je fais est voué à l'échec ou à ne pas marcher. Alors, je m'enferme dans ma bulle et j'ai du mal à en sortir. Mais ce n'est pas le sujet de cet article, je ne viens pas pour te déprimer, mais pour te présenter quelque chose ! Je pourrais PEUT-ÊTRE écrire un article sur mes ressentis de ces dernières semaines, si le courage vient à moi.

Comme tu le sais, je dessine énormément ! Cependant, je ne partage pas tout ici, malheureusement.... Alors une idée m'est venue à l'esprit :
Je n'avais jamais été active sur DeviantArt quelques mois en arrière, donc je n'avais rien à proposer là-bas. Mais désormais, je suis très active sur mon compte DeviantArt. J'y poste absolument toutes mes illustrations, et je peux donc te proposer d'aller regarder ce que je fais là-bas ! ^^ (Seulement si ça t'intéresse, évidemment !)

Je ne dis pas que je ne montrerai plus jamais ce que je fais sur ce blog, bien sûr que non ! Tu continueras à voir passer de temps en temps mes travaux sur Ekla. :3 (D'ailleurs, l'image en tête d'article a été dessinée par mes petits doigts boudinés !)

Cet article s'achève maintenant, et tu as désormais accès à ma mini galerie d'art si tu aimes regarder mon travail ! Il n'y a aucun détail sur mon travail là-bas, mais tu peux au moins profiter du visuel. Quand je posterai mes illustrations ici, tu auras droit à des détails, promis ! Je te dis à bientôt, portes-toi bien d'ici là ! :)

Affectueusement, Gleada. ♥

Aujourd’hui, j’ai 21 ans, ça y est. Je suis officiellement majeure aux Etats-Unis haha.

Je ne sais pas si je dois être enjouée de découvrir ce que me réserve cette nouvelle année ou me félicité d’avoir vécu jusqu’ici. C’est assez sombre comme pensé mais je vois les choses comme ça. Plus les années passent et plus je suis désespérée par ce que devient le monde. J’évite d’en parler en général, pour éviter que ça me trotte dans la tête. Le monde devient de plus en plus méchant et fou. C’est vrai pour la France en tout cas.

Alors je me félicite, d’avoir réussis à traverser la route sans me faire faucher par un abruti au volant qui conduit dangereusement. Je me félicite de ne pas être allée un jour au mauvais endroit. Je me félicite d’avoir évité les malades qui battent et touche des femmes (Je ne dis pas non plus que les hommes ne sont pas concernés.).

Je me félicite de ne pas avoir abandonné le jeu en constatant tout ce qu’il se passe !

Je vois la vie comme un Survival Game en ce moment haha. Elle me défit d’arrivé à ma finalité ! Et je veux relever ce défi. Je suis joueuse, alors je n’abandonnerais pas avant d’avoir essayé de gagner !

Je pense que je suis peu enjouée à l’idée de découvrir ce que me réserve la vie, elle devient trop cruelle. Et en même temps, je veux savoir si je trouverais un vrai foyer, à moi, que je pourrais partager avec mon amoureux et ma chienne, Sia. Je veux savoir si je réaliserais mes rêves ! Alors... Je ne dirais pas que je suis enjouée mais curieuse et intéressée !

Pour ça, je vais profiter un maximum de cette nouvelle année qui débute pour moi ! En ignorant la scélératesse de ce monde, je garderais la tête haute et avancerais vers demain !

J’ai toujours eu peur de vieillir, de grandir… Imaginer l’avenir est compliqué pour moi... Mais depuis cette année... J’arrive à ne pas détester cette date qui me rappelle que grandir est une étape à passer tous les ans et que la vieillesse nous tombera à tous dessus. Même à moi.

Haha... Je détestais cette date avant cette année. Mes proches m’ont fait me sentir plus à l’aise avec ce jour et leur amour me permet d’apprécier cette journée en laissant de côté les pensées négatives !

Je vais donc, me souhaiter un joyeux anniversaire, accompagné des personnes que j’aime. Je me souhaite le meilleur pour la suite ! Je me souhaite le bonheur !

A ma moi du futur, si tu relis ça : Je suis heureuse malgré mes soucis. J’aime et souris. J’espère que toi aussi tu le seras ! En paix et comblée. Que tes rêves seront proches de devenir réalité.

Je te souhaite, à toi qui lis cet article, d’entamer une année heureuse et de passer un anniversaire formidable. Quand ce sera ton tour évidemment, hihi !

Affectueusement, Gleada. ♥

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Je suis désolée par avance, mais, je ne serais pas aussi enjoué et énergique que dans les autres articles, car j'ai besoin de m'exprimer sur quelque chose qui absorbe mon énergie en ce moment. Tu n'es pas obligé de lire si tu ne veux pas t'encombrer l'esprit avec ça et que tu préférerais rire à une histoire farfelue et drôle à s'en faire mal au ventre.

J’insiste si tu es très sensible ou facilement influençable voir trop jeune, ne lis surtout pas cet article. Pense à ton bien et lire cet article nuira à ce dernier. Ne te force pas à lire pour moi, je préfère que tu prennes soin de ta santé mentale !

Sache que, si tu as besoin de t'exprimer sur n'importe quel sujet en commentaire, libre à toi ! J'écouterais avec plaisir ton histoire. ^^

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« J’ai toujours dit que si j’atteignais les 100 kilos, je ferais quelque chose pour y remédier. »

Tout est parti de là, de cette conversation avec mon compagnon et je t’avoue que, je ne me souviens même plus de comment j’en suis arrivé à lui parler de ça.

Mon poids n’a jamais vraiment été un problème pour moi, je suis à l’aise avec mon obésité et aime mes formes malgré les nombreux inconvénients, à commencer par la santé qui ne suit plus ! J’ai une santé fragile et l’obésité n’arrange pas le coup. Ensuite il y a le fait que je suis dans l’incapacité de porter des jupes, des robes ou bien même des short court sans avoir de cycliste ou de leggings en dessous pour cause que j’ai les cuisses qui se frottent entre elles de manière très douloureuse, à tel point que j’en viens à saigner et irriter ma peau, de plus, j’abîme tous mes pantalons qui finissent, tous, par se déchirer au niveau du frottement après les avoirs porter plusieurs fois. Je me retrouve souvent sans pantalons à ma taille ou à en racheter tous les mois. Ce n’est vraiment pas pratique.

Je faisais, lorsque ça à débuter, 98 Kilos 800. Autant dire que j’étais très proche de la limite que je me fixais et j’ai toujours eu un poids plutôt conséquent. Je vis au-dessus des 90 kilos depuis au moins 2 ans et rien ne m’alarmait jusque-là. Même pas lorsque que l’on me disait « Ta mère aurait dû t’appeler Sandy, et pas Cindy, n’est-ce pas, Sandy-Kilos (cent dix kilos si tu n’avais pas compris) ? »

Je pense que j'ai toujours su que l'obésité morbide planait au-dessus de ma tête et que j'étais persuadé que je pourrais tout changer à coup de baguette magique.

Alors je me suis questionné, pourquoi ? Pourquoi avoir voulu attendre qu’il soit trop tard pour changer les choses ?

A ce moment, c’était la veille des trois ans de la mort de ma chienne, Iella, une date que je ne pourrais jamais oublier. Et à partir du lendemain, le jour du décès de Iella, j’ai commencé à essayer de changer les choses avec des méthodes stricte. Je trouvais que mon raisonnement était idiot. Même si je descendais à nouveau en dessous de la barre des 100 kilos, je serais toujours obèse avec ma santé fragile et me pantalons déchirés. Et puis, je pouvais de nouveau remonter au-dessus et la boucle ne se finirait jamais.

Je ne me blâmais pas complétement non plus car, maintenir un poids stable en étant Boulimique, anorexique ou mangeuse compulsive n’aide pas à maintenir un poids convenable pour une bonne santé ou presque. Mes troubles alimentaires ont tous joué un rôle plus ou moins important dans mon obésité.

J’ai arrêté de manger entre les repas, je ne petit déjeunais plus, et réduisait considérablement la quantité de nourriture de mes assiettes. J’allais au travail le midi avec un concombre coupé en fine lamelle et le lendemain avec une petite boite de thon pour le repas. A la maison je ne cuisinais que des légumes et mangeait jusqu’à deux fois moins qu’avant.

Je me pèse tous les jours et les trois premiers, je perdais très vite du poids, ce qui est normal vu que le corps n’était pas habitué mais, ensuite mes kilos descendaient moins qu’avant et le moindre petit gramme perdu devenait une obsession. J’ai de nouveau réduit mon alimentation jusqu’à ne manger plus que le quart d’une boite de thon ou 4-5 courgettes coupés en fines lamelles. Je souriais lorsque je perdais 1 kilos et me privait quand je perdais moins de 200 grammes.

Mon compagnon à réagis de la meilleures des manières possible lorsque que je lui ai confié avoir un doute sur une anorexie, ça m’est déjà arrivé alors il était possible que ça recommence. Maintenant, c’est une certitude, je fais de nouveau de l’anorexie. Il est très compréhensif et ne me fait pas sentir comme une moins que rien ou ne me force pas et je le remercie énormément car son soutien m’aide à manger un peu même si ce n’est que 4-5 cuillères à café des aliments les moins caloriques que je trouve.

Quand ça à commencer, le calendrier indiquait le 23 octobre 2023, je ferais un point à la fin sur mes kilos perdus. Depuis le 04 Novembre je ressens les premiers symptômes physiques de l’anorexie soit une grande faiblesse du au manque d’énergie et de calories ingérée. Je suis fatigué et essoufflé rien que de prononcer une phrase de plus de dix mots. Quand je monte les escaliers pour rentrer chez moi, c’est une véritable épreuve, arrivé en haut mon cœur fait la salsa dans ma poitrine et j’ai du mal à reprendre mes esprits, ça dur bien 30 sec à 1 minutes. C’est très pénible.

Ma faiblesse est bien la seule chose qui m’embête d’ailleurs car, si j’ai le comportement d’une anorexique, j’ai aussi les pensées. Comme dit plus haut, je suis obsédé par le moindre gramme en moins, par les calories et par la quantité de nourriture qui entre en contacte avec ma bouche. La nourriture ne me donne même pas envie de vomir, mon cerveau me dit juste « Stop, arrêtes-toi là. » et je l’écoute évidemment. Je m’affame et ce n’est même pas une sensation que je vais vivre lourdement, ça en devient normale en fait et je m’arrête sans rancœur ni regret. Je me sens pas mal d’être anorexique car tout ce que je veux, maintenant, c’est de perdre du poids, et ceux, de façon astronomique.

C’est une sensation très étrange d’aimer tout le mal qu’il nous arrive. C’est même malsain de se réjouir de perdre plus d’un kilo en une nuit car la veille on a sauter un repas et manger que 4 fines rondelles de courgette en tout et pour tout dans la journée. 4 rondelles que j’ai mis 30 minutes à manger, pourquoi ? Car je mange très lentement, miette par miette pour me sentir plus vite rassasié et ne pas avoir le ventre qui hurle toute la journée. C’est pénible sinon.

Je vois ma psy le 29 Novembre, à mon anniversaire et une petite part de là moi non-anorexique qui réside dans un coin sombre de mon cœur, effacé par la place que prend l’anorexique, espère qu’elle pourra m’aider. J’ai essayé d’avoir un rendez-vous plus tôt mais elle est surchargée. Je suis par contre mise en première sur la liste des personnes à appeler si une place se libère.

Je ne sais même pas combien de temps durera l’anorexie avant qu’elle ne soit rattrapé par une crise de boulimie vomitive qui se transformera en hyperphagie et qu’alors je redeviendrais la mangeuse compulsive que je suis. Et je dépasserais à coup sur les 100 kilos à ce moment, ça m’effraie un peu. Beaucoup pour être honnête.

Si je dois parler avec la plus grande des sincérités, en mettant de côté mon cerveau hanté par mes troubles alimentaires, je pense que tout ce que je veux vraiment c’est que tout s’arrête. L’anorexie, la boulimie, l’hyperphagie. Je n’en veux plus, ça m’épuise.

Conclusion de l’article : je fais 92 kilos, j’ai donc perdue 6 kilos depuis le début.
Je tiens aussi à dire que tout ce que je te confie dans cet article n’est pas un exemple à suivre, c’est très dangereux.

Je vais, à partir de maintenant, signer mes articles comme je le faisais avant. Je ne sais même pas pourquoi j’ai arrêté d’ailleurs, je pensais peut-être que ça paraissait ridicule ? Or c’est moi, je me sens mal à chaque fois que je ne le fais pas. Donc je dis zut aux personnes qui trouve cela pathétique mais je ne veux pas m’empêcher de faire quelque chose que j’aime. ^^

Je te dis à bientôt, prend soin de toi !

Affectueusement, Gleada. ♥

Pseudo:
Gleada, il me correspond parfaitement, je le chéri beaucoup. Il se prononce d'ailleurs Glida. ^^

Age: Je vais avoir 21 ans le 29 novembre 2023 !

Mon caractère:
Je m'efforce toujours de garder une positivité à toutes épreuves ! Bien que je sois quelqu'un atteinte d'une maladie psychiatrique, je met une pointe d'honneur à garder le sourire. Je suis quelqu'un qui m'attache beaucoup. Je prend soin des personnes que j'aime avec toute la douceur que je peux y mettre. Je suis souvent énergique et assez rigolotte, je blague beaucoup. Je suis très à l'écoute!
Parfois je suis aussi tout le contraire de positive et énergique dû à ma maladie mais je fais en sorte que mes proches en souffre le moins possible !

Anecdotes:

• Mes collègues m'appellent "Le cerveau tout neuf" comme je suis bien plus jeune qu'elles haha. Ce surnom me fait beaucoup rire!
• Je suis une fan incontesté de l'univers Ankama!
• Je ne sais pas faire de vélo, j'ai beaucoup trop peur de ces engins.

Ce que je fais dans la vie:
Je suis pour le moment en service civique à l'association Sendra, une association d'aide et de service à la personne pour les personne en situation de dépendance ou de handicape. Souvent se sont des personnes très âgées et isolées. J'ai commencé en février 2023 et je suis rentrer pour 1 an de service ! Je fais surtout des tâches administratives, je fais un peu d'accueil et de standard et effectue des visites chez les bénéficiaires. ^^

Mes passions:
J'aime énormément de choses et je pense que je ne vais pas réussir à toutes les citée tant elle sont nombreuses. Je dessine, je code, je lis, je fais et écoute de la musique, je crée tout et n'importe quoi, j'aime jouer aux jeux vidéos, regarder des animes, films et séries.. Regarder des cartoons ! Je suis une grande amie des animaux. Ma plus grande passion c'est l'écriture: coucher des mots sur le papier.

Je n'apprécie pas:
La chose que je déteste le plus au monde c'est la méchanceté! Je n'aime pas non plus les hurlements de colère, ça me pétrifie de peur.
J'ai du mal avec les personnes qui se plaisent à faire du mal aux autres. Je ne supporte pas qu'on se moque de quelqu'un. Même si je ne porte pas trop la personne dans mon cœur, j'abhorre le fait qu'on puisse se plaire à rabaisser et faire du mal.
Je n'aime pas l'acidité dans les fruits aussi.

Au moins un rêve dans la vie:
Depuis que je suis petite, depuis la primaire, je rêve d'écrire quelque chose qui sera lu par beaucoup de monde.. Publier un roman me fait rêver !

Sinon:

Je suis aussi la très heureuse maman de ma chienne, Sia, un berger australien né le 17 avril 2021, elle est énergique et très câlin ! C'est mon petit pot de colle personnel au quotidien. Je suis son matelas favori, dès que je me pose, elle vient automatiquement s'installer sur moi et réclamer pleins de câlins haha.